mercredi 22 septembre 2010

Le mot de la marraine


Festival Bossa Nova 2ème Edition Thiais 2010

Quand j'étais petite, il y avait à la télé deux émissions de musique live qui passionnaient les brésiliens. Ceux qui aimaient le yéyé suivaient Roberto Carlos (qui était un peu comme votre Johnny), les yeux rivés vers l'Amérique du Nord et la pop mondiale, et bien, ceux là regardaient A JOVEM GUARDA, et ceux qui aimaient la musique brésilienne de source traditionnelle, regardaient O FINO DA BOSSA. Et c'était, à l'école primaire, source d'infinis débats. Moi je regardais avec la famille le Fino Da Bossa. Jamais j'en ai raté un épisode! Et cette émission a été, elle aussi, une grande responsable pour moi de mon éveil à la culture musicale brésilienne. Certes, dans la Bossa il n'y avait pas que de la bossa, qui pour le brésilien veut signifier les chansons et musiques instrumentales sorties de ce mouvement avec une saveur très particulière dans l'interprétation et la composition. Il y avait dans cette émission, les chansons brésiliennes de protestation, des bijoux d'écriture spécialisés en détournement de la Censura Federal des militaires au pouvoir, les musiques belles et rêches venues du nord-est et de la campagne brésilienne, les musiques d'états intérieurs, éloignés de l'océan comme Minas Gerais, et toute musique populaire harmoniquement plus élaborée que le yéyé, rock ou la pop et de fond vraiment brésilien. Mon Dieu, comme on aimait ça!

Le Festival Bossa Nova à Thiais me fait penser à comment cette Dame Bossa Nova a fait du chemin depuis mon enfance, comme elle a fait des petits partout dans le monde !! Tout en gardant toujours cet amour du naturel, musique écologique de naissance, puisque notre premier grand écologiste connu de tous, celui qui a rendu cette préoccupation d'écologie obligatoire et populaire, c'est justement Antonio Carlos Jobim lui même, chantre incontesté de la nature du Brésil et de la nécessité de sa protection.

Donc, la voilà, toujours là, la bossa. Toujours à la mode, elle qui n'est pas un phénomène de mode, puisque la bossa c'est une idée de la musique, un exercice de retenue pour un peuple si extraverti, une économie émotionnelle, une rivière qui coule doucement à l'intérieur.

On n'a pas besoin d'être brésilien pour naviguer dans cette rivière là. Ce festival en est la preuve éclatante !
Merci du fond du cœur de m'inviter en tant que marraine de cette mouture! Cette année, ça fait exactement 30 ans que j'ai élu domicile en France, et que je vois, sans faille, cet amour de la musique brésilienne jamais démenti.
Le peuple du Brésil, représenté ici par ses artistes, vous remercie chaleureusement de votre hommage.
Et nous vous disons, comme Jobim, que c'est la faute à Debussy! Illustre présence incluse par le père de la bossa lui-même dans l'arbre généalogique de notre bien aimé mouvement musical.

Et seulement pour vous éclairer: toute Musique Brésilienne Populaire (MPB) n'est pas exclusivement bossa. Mais on lui doit, tous, une très fière chandelle!
Me voici toute contente de l'allumer cette année, à mon tour!

Mônica Passos


Photo par DO MONTOBELLO

www.festivalbossanova.com

lundi 18 janvier 2010

En avant la musique

Nous avons accepté, sans trop nous poser de questions, une tâche difficile et ingrate à la fois : celle d’écrire quelques lignes sur la musique. N’étant pas nous mêmes musiciens ni musicologues, il est à parier que notre modeste travail sera soumis à la critique sévère des plus doctes de nos lecteurs, qui prennent souvent plaisir à faire remarquer les erreurs d’autrui, soit par mauvaise foi, soit simplement par le sincère désir de faire amender et améliorer ce qui, de leur point de vue, semble mal écrit ou truffé d’incohérence, de contre vérité et d’inepties.
Certains de nos lecteurs déploreront le choix des sujets proposés à leur lecture ; d’autres encore contesteront les propos qui y seront évoqués. Nous disons à toutes ces personnes tant difficiles que cette page est la leur et que nous attendons avec une impatience non dissimulée leurs critiques, leurs suggestions et, pourquoi pas, leurs encouragements. Le débat est ouvert.


L’origine du jazz

Pour notre premier sujet, nous avons décidé de vous parlez du jazz. Ce terme, dont l’origine reste, aujourd’hui encore fort controversée viendrait pour certains, de la déformation du mot « jaser », qui serait en réalité une expression créole française de La Nouvelle Orléans, voulant dire : « discuter gaiement sur de petits riens ». Pour d’autres, son origine remonterait à l’expression plus connue et fort usité autrefois de « Jazz-Belles », altération de « Jézabel ». Ce dernier, utilisé par les cajuns, désignait les prostituées.
Une autre interprétation, non moins importante que les deux précédentes, voudrait que certains blancs racistes du sud des États-Unis n’avaient aucune considération pour cette forme d’expression, la regardant avec dédain et mépris, la qualifiait de « Jass Music » ou, pour parler de manière triviale de « musique de cul ».
Cependant, Une chose est sûre : quelle que soit l’interprétation qu’on lui donne, le jazz fait référence à trois éléments essentiels : la parole, la danse et le sexe.
Musique complexe, il a su habilement mêlé les éléments des rythmes africains et européens. Si nous osions, nous dirions que c’est ce mélange, ce métissage qui a su séduire et séduit aujourd’hui encore, noirs et blancs indifféremment et fait du jazz une musique intemporelle, toujours actuelle.

Wokou ELOKU - MAKINDO

jeudi 7 janvier 2010

Bilan du Festival Bossa Nova à Thiais 2009

Je suis JBA, Président de l'association JAZZONOTES et je suis heureux de voir qu'il existe des amoureux de la Bossa Nova...

Je me permets de vous donner un premier bilan sur le festival bossa nova à Thiais 2009, il est vrai que d'organiser un premier festival autre qu’un festival de rock, à l'extérieur de Paris, présenter une musique loin de ce que l'on peut entendre à la télévision ou à la star AC, avec des maigres subventions péniblement acquises, des non-partenaires qui auraient préféré avoir un Christophe MAE plutôt qu'un Marcio FARACO, pour tous ces points, je dis que cela tient de l'exploit... c'est pourquoi, nous étions contents d'avoir chaque soir cette salle à moitié "pleine"… Alors, vous me direz qu’il y avait peut être, peu de personnes, mais il y avait que des gens biens...

Lorsque l’on a présenté le festival avec le parrain, Didier SUSTRAC, nous avions uniquement pour ambition que la ville de Thiais devienne le MARCIAC de la Bossa Nova, d’après les souvenirs des anciens spectateurs du JIM (Jazz in Marciac), il y a maintenant 33 ans, les artistes jouaient devant 30 personnes, aujourd’hui vous connaissez la notoriété de ce festival dans le monde…

Nous sommes heureux d’avoir eu un plateau d’artistes en octobre dernier de grande qualité et il était opportun de voir ces différentes bossa nova sur les trois jours du festival : Marcio FARACO avec sa bossa pure mais moderne qui descend tout droit du panache de Joao GILBERTO, la musique de Catia WERNECK qui rappelle que la bossa nova fait partie intégrante du jazz, la rythmique de Marcello FERREIRA qui nous fait comprendre qu’une samba ralentie arrosée d’une belle mélodie nous donne la bossa nova, Didier SUSTRAC peut être le plus brésilien des “bossanoveurs“ français, héritier du trône de la bossa en métropole avec son univers suave et feutré, Isabelle CARPENTIER et VERIOCA qui nous ont proposées une bossa joyeuse et touchante avec par exemple des reprises de Antonio Carlos JOBIM revues et corrigées ou leur composition pour l’occasion de “La bossa auvergnate“, une bossa un peu plus jazzy et crooner avec DELDONGO pour clôturer le festival et pour finir le groupe Bossa Jade avec sa bossa à la française qui a assuré toutes les premières parties…

Nous nous donnons jusqu'à 2011 pour commencer à avoir nos 400 spectateurs chaque soir, mais en attendant je vous invite à venir pour la deuxième édition du Festival Bossa Nova du 15 au 17 octobre 2010 à Thiais dans le même théâtre René Panhard pour nous aider par votre présence et je l’espère, avec tous les futurs amis de la bossa nova que vous allez embringuer dans cette aventure.

Il y aura une belle brochette d'artistes, venant de toute la France et du Brésil, une vraie surprise à l'horizon qui sera dévoilée en mars / avril 2010 sur notre site : www.festivalbossanova.com

En attendant, l’heure est à la recherche aux subventions pour financer le prochain festival...

Musicalement,

JBA

www.myspace.com/jazzonotes
www.festivalbossanova.com

lundi 4 janvier 2010

Jazz ou Bossa Nova

QU’EST-CE QUE LE JAZZ
Le jazz est un genre de musique qui prend naissance au début du XXe siècle aux Etats unis. Il émane essentiellement du blues et de la musique du vieux monde, il est facilement reconnaissable grâce à ces deux principaux éléments: le swing et L’improvisation.
De Louis Armstrong et Sidney Bechet qui popularisèrent le Jazz nouvelle-Orléan à Miles Davis qui jouait un Jazz-rock fusion bien différent du jazz traditionnel, en passant par Duke Ellington ou Stéphane Grappelli, le jazz s'est enrichi d'une multitude d'influences au cours du temps et reste encore aujourd'hui un style de musique interprété partout dans le monde.
Inspirant ainsi de nombreux autres courants musicaux tels que :

Acid jazz / Bebop / Cool jazz / Dixieland / Filin / Free jazz / Hard bop / Jazz Nouvelle-Orleans / Jazz West Coast / Jazz afro-cubain / Jazz blues / Jazz manouche / Jazz modal / Jazz Funk / Jazz house / Jazz rock fusion / Latin jazz / Mainstream / Middle jazz / Nu Jazz / SMooth jazz / Soul jazz

Tous cela ont su en assimiler les sonorités et les techniques de jeu.

QU’EST-CE QUE LE LATIN JAZZ
Le Latin jazz est le nom donné à la musique qui combine des rythmes latino-américains avec des harmonies de jazz des Etats-Unis. Le terme a été inventé par le trompettiste Jerry Gonzalez dans les années 60, soit bien plus tard que la naissance de cette musique.
Les deux catégories principales en sont le Latin jazz brésilien et le Latin jazz afro-cubain.
Le Latin jazz brésilien inclut la Bossa Nova.
Le jazz afro-cubain inclut la Salsa, le Merengue, le son Cubain, le Songo, le Mambo et le Cha-cha-cha.

QU’EST-CE QUE LA BOSSA NOVA
La bossa nova (« nouvelle bosse », « nouveau truc », « nouvelle technique musicale » en portugais, traduit très souvent par erreur en « nouvelle vague » en français) est un style musical inventé par Joao Gilberto qui inspira un groupe d'étudiants et de musiciens à la fin des années 50 dans les quartiers d’Ipanema et de Copacabana à Rio de Janeiro.En 1958, elle fut popularisée au Brésil par le disque Chega de saudade, interprété par Joao Gilberto, composé par Antonio Carlos Jobim et écrit par Vinicius e Moraes. En 1963, grâce à la collaboration de Joao Gilberto et du saxophoniste Stan Getz dans l’album Getz & Gilberto, la bossa nova remporta un succès planétaire avec l'inoubliable A garota de Ipanema(The girl from Ipanema, en anglais), interpreté par Astrud Gilberto, et devenue légendaire. De nos jours, loin d'être un style musical démodé, la bossa nova est devenue partie intégrante du jazz et de nombreux artistes l'ont intégrée à leur répertoire en créant de nouvelles compositions de bossa nova, agençant sensualité, douceur et romantisme à ce dérivé de la samba. En France, nous avons le groupe Bossa jade…

L'arrivée de la bossa nova sur la scène musicale brésilienne ne peut s'expliquer sans la volonté de rejet de la musique populaire traditionnelle brésilienne de la part d'un petit groupe d'étudiants de Rio de Janeiro. Jusque dans les années 1950, la culture musicale au sein de la classe ouvrière brésilienne était composé principalement de sambas de type carnaval avec une utilisation massive des percussions comme accompagnement. Pour la classe moyenne, la forme dominante de chanson était les ballades plus connues sous le nom de samba-cançao, similaire aux boléros latino-américains, offrant des compositions simples, une harmonie standard, des voix douces et des textes sentimentaux, plus fréquemment mélodramatiques.

LES PREMIERS ARTISTES BOSSA
Joao Gilberto, avec la collaboration d’Antonio Carlos Jobim, apporta plusieurs innovations et modifications aux sambas traditionnelles. Une harmonie particulière et un rythme lent tout en diminuant le rôle du vocaliste en tant qu'élément central du morceau musical. En compensation d'un rythme binaire de la samba répétitif, la bossa proposait des rythmes syncopés variés à la guitare ou au piano. Cette approche musicale contrastait nettement avec le style du samba-cançao. A felicidade (enregistré par Joao Gilberto en 1959), du film Orfeu negro de Marcel Camus, est un excellent exemple de ce contraste. Dans cette chanson, la samba traditionnel de carnaval alterne avec les styles caractéristiques de la bossa nova. Pourtant, même si la bossa est fortement influencée par le jazz, Jobim s'est toujours considéré de tradition classique.
Joao Gilberto interprétait les chansons du compositeur Antonio Carlos Jobim et du poète Vinicius de Moraes. La bossa nova dans l'histoire de la musique brésilienne et mondiale est importante. Elle a introduit des harmonies complexes, une relation étroite entre paroles et musique ainsi qu'une préoccupation générale pour l'arrangement et la forme musicale.

LA PETITE RUMEUR
La petite histoire veut que monsieur Henri Salvador, qui était arrivé au Brésil en tant qu'accompagnateur de Ray Ventura et y était resté quelque temps, ait été à l'origine de la nouvelle forme musicale. Interrogé à ce sujet, le chanteur d'origine guyanaise déclarait :
« Tom Jobim est allé au cinéma où il a vu un film dans lequel je chantais Dans mon île, chanson que j’avais composée. Quand il l’a entendue, il s’est dit : « Tiens, c’est ça qu’il faut faire : ralentir la samba, mettre de belles mélodies et de beaux accords ». Je suis tout fier d’avoir inspiré Jobim, mais ce n’est pas moi qui ai inventé la bossa nova. »

LE GROUPE BOSSA JADE
C’est un groupe Français qui joue de la Bossa Nova avec des chansons originales, une musique qui vous berce, vous fermez les yeux et vous vous sentez bien, des textes sur l’amour, l’amitié, la vie tout simplement…

www.bossa-jade.fr
www.myspace.com/bossajade


Patricia BOUZILLARD

Le mot du parrain du festival bossa nova 2009 à Thiais

“…C’était, le 10 Juillet 2008, le cinquantième anniversaire de la bossa-nova.
Il est vrai que pour un français de France cela n’évoque pas forcément grand-chose. Mais pour moi qui suis peut-être le chanteur français le plus bossa-noveur de France, cette date est un événement.

D’abord, parce que j’ai le même âge, cela déjà devrait suffire à m’émouvoir, mais il est une autre raison plus profonde qui donne valeur à cet anniversaire, celle de mettre construit artistiquement autour de la bossa-nova.
Le Brésil a été pour moi une terre d’accueil où je me suis vu naître une deuxième fois. Comme si, en écoutant de vive voix sa musique, je m’en sentais, soudain, orphelin.
C’est par la bossa-nova que j’ai découvert le Brésil et moi-même.
Vous comprendrez alors que je n’ai pu refuser l’invitation de Jean-Baptiste AMAND, quand il m’a proposé d’être le parrain de ce premier festival de la bossa-nova.

Qu’est-ce que la bossa-nova ? C’est une question difficile. Ses détracteurs écriraient sûrement à côté de son nom, ces dates : (1958- 1965).
Je ne fais pas partie, non plus, de ce courant traditionaliste, conformiste qui la voit uniquement comme une technique appliquée, je crois que la bossa-nova, en dehors de son mouvement, est une expression extraordinaire par laquelle avec une guitare, on a trouvé le moyen d’unir, rythme et harmonie dans leur plus grande complexité.
Comme l’écrivait M. Antonio Carlos Jobim, derrière la première pochette du disque de Joao Gilberto, « lorsque Joao s’accompagne, il s’incarne en l’instrument, quand l’orchestre l’accompagne il s’incarne également en l’orchestre ».
J’ai toujours pensé, en tant que guitariste, que la bossa-nova se présentait comme le meilleur support de la chanson.

A sa genèse, elle était un pont entre la France et le Brésil. Antonio Carlos Jobim, Vinicius de Moraes, ont signé la bande son de « Orpheu Négro » palme d’or de cannes (1959) film de Marcel Camus qui avait transposé au cinéma une pièce de théâtre de Vinicius de Moraes « Orfeu da Conçeiçao ».
Bien entendu c’est le 10 juillet 1958 que la bossa naîtra par l’enregistrement de « chega de saudade » avec Joao Gilberto, son troisième pilier.
Depuis, ce temps, combien d’artistes français ont été inspirés par cette expression, Henri Salvador, Claude Nougaro, Sacha Distel, Brigitte Bardot, Pierre Barouh, Michel Fugain, Pierre Vassiliu et bien d’autres encore.

Car, comme le Brésil, issue du métissage, elle s’est toujours transformée, mélangée, du tropicalisme à l’électro, du jazz au funk, la bossa-nova est une musique vivante qui a toujours déclenché des passions dans notre hexagone et qui en déclenchera encore ici et partout dans le monde.
C’est, parce que j’en suis un enfant, que je suis honoré, aujourd’hui, d’être le parrain de ce premier festival qui j’espère, donnera sa place à une expression musicale majeure et pourtant absente de nos manifestations. Espérons que ce festival de la bossa-nova soit le premier d’une longue série…“

Didier SUSTRAC


www.festivalbossanova.com
www.sustrac.com

Le Brésil rencontre la ville de Thiais

Avec une actualité où les échanges France- Brésil tiennent une place importante dans de nombreux domaines '' 2009 année de la France au Brésil'', la ville de Thiais et l'association JAZZONOTES ont organisé le 1er festival de Bossa Nova en France les 9-10-11 octobre au théâtre René Panhard.

La ville de Thiais et l'association JAZZONOTES ont proposé à travers cette démarche originale et unique, de faire connaître et développer cette expression musicale né au Brésil à la fin des années cinquante.
Parrainé par le poète de la Bossa Nova en France, auteur compositeur, passionné du brésil, Didier SUSTRAC donne à ce festival une couleur particulière. Il nous offre la force de ses textes accompagné d'une délicate musicalité.

Dans une ambiance suave et chaleureuse, les spectateurs ont découvert durant ces trois soirées de nombreux artistes de la scène internationale. Marcio FARACO compositeur, ses mélodies voyagent de la samba à la bossa en passant par le jazz. MARCELLO & LOUZIA un duo qui nous propose de lutter contre la monotonie avec rythme et humour. Le groupe BOSSA JADE nous conte la nouvelle bossa nova d’aujourd’hui sur des notes douces et en français, ce qui fait toute leur singularité. VERIOCA, une artiste française qui chante en portugais en s'accompagnant de sa guitare, ses mélodies nous transporte naturellement vers l'imaginaire.

Un festival fort en émotion laissant le public repartir avec toute la joie, la poésie et l'énergie des rythmes de la bossa nova.


Ainsi un 1er festival de Bossa Nova est né en France et n'a pas dit son dernier mot. Une deuxième édition prévue en octobre 2010 viendra rapidement nous rappeler la douceur du Brésil et ses bossanoveurs.

Sylvie PERRUCHON


www.myspace.com/jazzonotes
www.festivalbossanova.com